Tout avait commencé avec des qualifications dune rare intensité : en Elite Parisy semparait, dans son dernier tour lancé, de la pole promise à Eric Hélary pour seulement 5 centièmes alors que la pole Open se jouait pour 2 millièmes entre Phil Drift et Manu Brigand.
Les deux sprints « shootout » ont connu un déroulement similaire avec le poleman de chaque catégorie qui gagne sa course. Mike Parisy, étincelant, simpose en Elite face à Eric Hélary et Phil Drift, très en verve ce week-end, puisquil simpose aussi en Open aux dépens de Manu Brigand et du jeune Romain Fournillier.
La course longue « Main Event » va produire un scénario incroyable : dabord Parisy part de la dernière ligne de la grille, mais avec des pneus neufs. Le pilote Events Motorsports commence une remontée de folie. Après seulement quatre tours, il pointe en tête devant Lasserre. Entretemps, Hélary et Fradétal se sont tellement expliqués quils ont perdu une dizaine de places.
Parisy passe le volant à son équipier Xavier Zajfert avec un écart confortable que le benjamin de la Racecar sappliquera à conserver jusquau drapeau à damiers. Promis au podium, Phil Drift (trop?) survolté sera arrêté au drapeau noir. Ce diable dHélary est remonté à la troisième place convoitée par un pugnace Moureu.
Leurs équipiers, Brigand et Grand, continuent à sexpliquer dans la seconde partie de course au bénéfice de la voiture MacDo qui prend lavantage en vue de larrivée. La Racecar a tenu toutes ses promesses avec dincessantes luttes et des pilotes talentueux et combattifs.